Diapason

2004

La sombre beauté d’Outre-mémoire vient autant des allusions au fonds musical afro-cubain que de la narration distanciée du compositeur.
Pécou invente son propre rite, aussi puissant par sa violence organique que par l’amertume mélodique dont il parsème l’ouvrage.

La sombre beauté d’Outre-mémoire vient autant des allusions au fonds musical afro-cubain que de la narration distanciée du compositeur.

Pécou invente son propre rite, aussi puissant par sa violence organique que par l’amertume mélodique dont il parsème l’ouvrage.