Le Monde

27 avril 2010

Pécou suit l’intrigue en disposant des mèches ça et là et attend la fin pour mettre le feu aux poudres. Son orchestre traduit idéalement les variations de climat et puise dans une large palette esthétique - de Milhaud et Stravinsky à Piazzolla ou Ligeti - des couleurs toujours appropriées au décor.

Le Figaro

26 avril 2010

Le contraire de la musique de Thierry Pécou, d’une habileté et d’un sens théâtral confondants. Maître du mouvement perpétuel et de l’ostinato rythmique, il orchestre avec vivacité et finesse de touche, intégrant la structure de l’opéra classique à un langage moderne sans faire du « à la manière de ».

Diapason

Avril 2010

Composer n’est pas un acte neutre mais empreint d’une manière de recevoir ce qui se passe autour de soi, d’être traversé par certains questionnements.