Mediapart

8 Février 2012

Marcha de la Humanidad : Thierry Pécou brosse une fresque musicale puissante et monumentale, un formidable et trépidant crescendo.
Ainsi est L’oiseau innumérable, dans les couleurs et les rythmes duquel on entend un Ravel autant que les accents du jazz : un orchestre ensoleillé, tour à tour pastoral, sylvestre et tempétueux, qui porte un piano obstiné dans un long tremblement, lequel semble secouer le monde entier.