Le Monde

27 avril 2010

Pécou suit l’intrigue en disposant des mèches ça et là et attend la fin pour mettre le feu aux poudres. Son orchestre traduit idéalement les variations de climat et puise dans une large palette esthétique - de Milhaud et Stravinsky à Piazzolla ou Ligeti - des couleurs toujours appropriées au décor.